Conséquence des modes de production modernes. Les surfaces agricoles s’appauvrissent, les variétés de fruits et légumes cultivés ne survivent plus sans le renfort de nombreux produits chimiques puissants mais dangereux, et toujours plus coûteux.
La qualité de notre alimentation diminue sensiblement, ce qui n’est pas sans conséquences sur notre santé.
Il est nécessaire de sortir notre agriculture de ce cercle vicieux, mais cela ne peut se faire qu’en protégeant notre économie. Le localisme, par opposition au mondialisme, a pour ambition de privilégier la consommation de produits locaux.
Il consiste donc aussi à privilégier les conditions dans lesquelles nous souhaitons produire demain.
L’élections de M. Macron, partisan décomplexé d’un mondialisme dérégulateur et libre-échangiste, rend plus que jamais nécessaire la présence d’une opposition forte, patriote et localiste dans nos assemblées. Cette opposition est la seule à pouvoir offrir un cadre favorable au progrès, qu’il soit environnemental, social, ou humain.
Les 11 et 18 juin, il est impératif que chaque Français se mobilise face au danger que présente la perspective d’un quinquennat Macron. Que chacun prenne ses responsabilités pour que nos voix ne se dispersent pas, car le système ne fait désormais plus qu’un derrière son nouveau champion.
Ce commentaire a été rédigé en réaction à l’article dans le Nouvel Obs : Une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d’aujourd’hui.
